Anna Chakvetadze remporte à Paris son septième titre en autant de finales.
Anna Chakvetadze conquista Parigi con la settima vittoria su sette finali giocate.

 
11 Febbraio 2008 Articolo di Angelica
Author mug

Dopo una partita nervosa e poco spettacolare - durante la quale il coach della Szavay si rilassa ascoltando musica - mamma Chakvetadze fa concorrenza ai fotografi e la Pierce torna finalmente in campo, anche se solo per la premiazione.

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Le dernier jeu de la final Chakvetadze - Szavay. L’ultimo gioco della finale Chakvetadze - Szavay

Pubblico a Parigi

La partita non è stata eccezionale, ma qualcuno l’ha apprezzata!

Traduzione a cura di Madeleine Hammel

Chakvetadze b. Szavay 63 26 62.

L’année dernière la finale fut entre une russe (Petrova) et une tchèque (Safarova). Cette année les protagonistes changent mais il s’agit encore des joueuses de l’est de l’Europe. La natte et les boucles d’oreille de perle de la russe Chakvetadze. L’ensemble noir avec le dessin comme les empreintes d’un pneumatique et le sourire sympathique et la façon d’être simple de la hongroise Szavay. Le stade n’est pas grand, mais c’est un beau coup d’œil de le voir plein. À l’emplacement TV on revoit Mary Pierce : pour l’instant elle est rentrée seulement comme commentatrice. Au box de Szavay, son coach commence à sortir l’Ipod et sélectionne la musique à écouter pendant la finale. Au box de Chakvetadze il y a la maman. Tranquille. Agnes Szavay entre première sur le court, arborant un très grand sourire. Oui, elle inspire de la sympathie. Et elle s’assied sur la même chaise qu’hier, celle à la gauche de l’arbitre. Anna Chakvetadze semble tranquille et concentrée. Entre autre elle a un record qui impressionne: elle a vaincu toutes les six finales qu’elle a jouées. Celle-ci est la septième. Que le soutien sera en faveur de la hongroise se comprend immédiatement, avec un groupe de supporters, orphelins d’Amélie Mauresmo, qui hurlent Agnes, Agnes. Mais rien de comparable avec les supporters Israéliens de la Fed Cup, donc Anne ne se fait pas impressionner. Elle commence tout de suite avec un break sur le service de Szavay. De son coté Szavay tente son record de doubles fautes et commence bien, car elle en fait rapidement 2. Anna tient son service mais en fait de doubles fautes elle ne veut pas être de moins que la hongroise et elle aussi en fait 2. Service Szavay, break. Et nous sommes déjà à 5 doubles fautes. Le jeu n’est pas particulièrement enthousiasmant. Trop d’erreurs. Surtout de la part de la hongroise. Elle est menée 4 à 0 avec bien 6 doubles fautes en 18 minutes. Le public français n’accepte pas cela et maintenant il soutient totalement Szavay, qui finalement réussit à gagner un jeu. Pour l’instant le match ne me donne pas trop d’émotions. Trop d’erreurs et un jeu plus géométrique mais beaucoup moins puissant que les jours passés. Après une semaine de coups puissants d’une part et d’autre il me semble assister à un match au ralenti. De toute façon avec le soutien du public Agnes réussit a gagner un autre jeu. 4 à 2. En regardant vers le box hongrois il semble que le coach fasse des signes positifs avec tête. Et peut-être c’est ainsi. Cependant il est aussi aidé par le rythme de la musique qu’il écoute, parce que en regardant bien on voit le genou suivre le rythme en même temps que la tête. Dira-t-il aussi oui à la septième double faute? Cependant, comme si de rien n’était, malgré les erreurs au service Agnes arrive 4 à 3. Et ici elle s’arrête parce qu’Anna n’est pas type à concéder trop, surtout si Agnes continue à faire des erreurs. Premier set 6 à 3 Chakvetadze. La hongroise appelle le coach, la musique dans ses auriculaires ne doit pas être trop forte si elle lui permet d’entendre l’annonce de l’arbitre. La seconde manche, comme cela se présente souvent dans les rencontres de tennis féminin, change complètement. Les erreurs ne manquent jamais, mais cette fois-ci Chakvetadze en fait plus. Honnêtement il ne s’agit pas d’un beau match. On a vu mieux de la part des deux joueuses cette semaine, au moins selon moi. Comme dans le premier set on va 4 jeux à zéro, mais cette fois-ci en faveur de Szavay. Ensuite un jeu pour Anne. Mais le set va 6 à 2 a Szavay, la quelle ne renonce pas à son hobby parisien: collectionner doubles fautes (nous sommes arrivés à 8). À la fin du set Agnes sort du court pour aller aux toilettes. Anne demande la kiné. Il est vrai qu’aujourd’hui cette dernière n’avait pas encore fait sa petite course sur le court. Surtout, qu’on essaie pas à lui enlever un peu de jogging quotidien! Le problème de la russe est situé à l’épaule gauche (hier la hanche, aujourd’hui l’épaule… est-ce qu’elle vieillit? Nooon, il ne s’agit que d’envie de ma part) et pour pouvoir la traiter ils doivent rentrer dans les vestiaires. Ainsi elle et la kiné sortent au moment ou Agnes rentre accompagnée du juge de ligne. Gens qui vont, gens qui viennent. Dans l’attente que la russe rentre, la hongroise fait du stretching. Pour faire passer le temps elle doit en faire beaucoup. Après quelques année Chakvetadze rentre. Et aussi cette fois-ci la kiné a fait le miracle. J’espère qu’on la paye bien pour tout ce travail. Ce troisième set, contrairement aux derniers match, ne sera pas un festival du break. Au contraire, il reste fidèle aux services. Cependant le jeu s’améliore et les joueuses commencent à faire voir quelque émotion de plus sur le court. Aucune ne cède, malgré qu’il y ait des balles de break: celle-ci sont toutes annulées. Sur le 2 à 2 la musique ne suffit plus au coach de Szavay pour calmer la tension et alors il commence à manger sa chaine. La maman d’Anne par contre doit avoir bien déjeuné, parce qu’elle reste tranquille. Nous sommes 3 à 2 pour Chakvetadze et le service à Szavay. Il s’agit du jeu le plus combattu de toute la rencontre. Finalement on voit de beaux points. Break point pour la russe. Les émotions se lisent sur le visage des protagonistes. Au contraire, pour sauver la belle frimousse, Anne attirée au filet par une balle courte d’Agnes, elle protège son visage avec la raquette et réussit ainsi une volée qui lui donne le break. Ensuite elle tient le service 4 à 2 et elle profère son célèbre hurlement de guerre de la Fed Cup. A partir de ce moment le match est décidé. Agnes perd encore le service et pour la première fois elle donne l’impression de ne plus croire dans une remonte. Anne ne perdra pas le service. Après deux heures et six minutes l’arbitre annonce : jeu, set, match Chakvetadze. Bras au ciel pour fêter son septième titre. Mary Pierce rentre sur le court uniquement pour effectuer la remise des prix aux joueuses. Agnes et Anne, côte a côte, arborent de grands sourires: elles ont 39 ans à elles deux. (Il vaut mieux que je n’y pense pas!) Maman Chakvetadze, avec sa camera, prend des photos. Sous peu il y aura des dizaines et dizaines de photos de la fille prise par les photographes professionnels, mais quelle satisfaction de faire une photo à sa fille qui soulève la coupe?


IN ITALIANO

Chakvetadze - Szavay 63 26 62.

Lo scorso anno la finale fu una russa (Petrova) contro un ceca (Safarova).
Quest’anno cambiano le protagoniste ma rimane la costante delle giocatrici dell’est Europa.
La treccia e gli orecchini di perla della russa Chakvetadze. Il completino nero con disegno tipo le impronte di pneumatico e il sorriso simpatico e i modi di fare semplici dell’ungherese Szavay.
Lo stadio non è grande, ma vederlo pieno è un bel colpo d’occhio. Alla postazione TV si rivede Mary Pierce: per il momento è tornata, ma come commentatrice. All’angolo della Szavay, il suo coach incomincia a tirare fuori l’Ipod e seleziona la musica da ascoltare per la finale.
All’angolo della Chakvetadze la mamma. Tranquilla.
In campo entra per prima Agnes Szavay, con un sorriso grande così. Sì, ispira simpatia. E si siede sulla stessa sedia di ieri, quella alla sinistra dell’arbitro.
Anna Chakvetadze sembra tranquilla e concentrata. Tra l’altro ha un record da far paura: ha vinto tutte le sei finali che ha giocato. Questa è la settima.
Che il tifo sarà a favore dell’ungherese è chiaro fin dal riscaldamento, con un gruppo di supporter, orfani di Amélie Mauresmo, che scandisce Agnes, Agnes.
Ma nulla di paragonabile ai tifosi di Fed Cup Israeliani, perciò Anna non si fa impressionare. Comincia subito facendo il break sul servizio Szavay. E la Szavay comincia anche il suo tentativo di record di doppi falli e comincia bene, ne fa subito 2.
Anna tiene il suo turno di servizio ma in fatto di doppi falli non vuole essere da meno dell’ungherese e ne fa 2 anche lei.
Servizio Szavay, break. E siamo già a 5 doppi falli. Il gioco non è particolarmente entusiasmante. Troppi errori. Soprattutto dell’ungherese. 4 a 0 sotto ma ben 6 doppi falli in 18 minuti.
Il pubblico francese non ci sta e adesso sostiene a voce unica la Szavay, che finalmente riesce a fare un gioco.
Per il momento la partita non mi coinvolge troppo. Troppi errori e un gioco più geometrico ma molto meno potente dei giorni scorsi. Dopo una settimana che vedo o meglio ‘sento’ bordate da una parte e dall’altra mi sembra di vedere una partita al rallentatore.
Comunque Agnes con l’incitamento del pubblico vince un altro game e siamo 4 a 2. Se si dà uno sguardo all’angolo dell’ungherese si pensa che l’allenatore faccia cenni positivi con la testa. E forse è così. Però è anche aiutato dal ritmo della musica che ascolta, perché a guardare bene si vede anche il ginocchio andare a ritmo con la testa.
Chissà se dice di sì anche al settimo doppio fallo. Però, come se niente fosse, malgrado gli errori al servizio Agnes arriva sul 4 a 3. E qui si ferma perché Anna non è tipo concedere troppo soprattutto se Agnes continua ad essere fallosa. Primo set 6 3 Chakvetadze.
L’ungherese chiama il coach, la musica nei suoi auricolari non deve essere troppo alta se sente l’annuncio dell’arbitro.
Il secondo set, come ben si addice ad un incontro di tennis femminile, gira completamente. Gli errori non mancano mai, ma stavolta è la Chakvetadze che ne fa di più. Onestamente non un gran bel tennis. Si è visto di meglio da parte di entrambe questa settimana, almeno secondo me.
Come nel primo set si va 4 giochi a zero, però stavolta per la Szavay. Poi un game per Anna. Ma il set è andato 6 a 2 Szavay . Che comunque non rinuncia al suo hobby parigino: collezionare doppi falli e siamo arrivati ad 8.
Alla fine del set Agnes esce dal campo per andare in bagno. Anna chiede il fisioterapista. E certo, oggi ancora non si era fatta la sua corsetta in campo. Sia mai che le tolgono un po’ di jogging quotidiano!
Il problema della russa è alla spalla sinistra (ieri l’anca, oggi la spalla…che stia diventando vecchia? Neeee la mia è solo invidia) e per potere assisterla devono rientrare negli spogliatoi. Così lei e la fisioterapista escono nello stesso momento in cui Agnes rientra accompagnata dal giudice di linea. Gente che va, gente che viene.
In attesa che la russa rientri l’ungherese fa stretching. E tanto ne deve fare per ingannare il tempo. Alcuni anni dopo la Chakvetadze rientra.
E anche stavolta la fisioterapista ha fatto il miracolo. Spero che almeno la paghino bene per quanto ha lavorato.
Questo terzo set, a differenza degli ultimi match, non sarà il festival del break. Anzi, rimane fedelissimo ai servizi. Però almeno il gioco migliora e le giocatrici incominciano a mostrare qualche emozione di più in campo.
Nessuna cede, malgrado ci siano palle break, tutte vengono annullate. Sul 2 pari la musica non basta più al coach della Szavay per allentare la tensione e allora incomincia a mangiare la sua catenina. La mamma di Anna invece deve aver pranzato bene, perché rimane tranquilla.
Siamo 3 a 2 Chakvetadze e servizio Szavay. E questo è il gioco più caldo dell’incontro. Finalmente bei colpi. Break point per la russa. Le emozioni si leggono in viso alle protagoniste. Anzi, proprio per salvare il bel faccino, Anna, chiamata a rete da un palla corta di Agnes, si mette la racchetta a protezione del viso e le esce una volée con cui fa il break. Poi tiene il servizio. E’4 a 2 e le esce il suo famoso urlo di guerra della Fed Cup. Ormai la partita è decisa.
Agnes perde ancora il servizio e forse per la prima volta sembra non credere più nella rimonta. Anna non perderà mai il servizio. Dopo due ore e sei minuti l’arbitro annuncia: jeu, set, match Chakvetadze.
Braccia al cielo per festeggiare il suo settimo titolo.
Mary Pierce torna in campo, anche se solo per effettuare la premiazione delle giocatrici.
Agnes e Anna, una accanto all’ altra, sono tutti sorrisi: 39 anni in due. (Meglio che non ci penso!)
Mamma Chakvetadze, con la sua macchinetta compatta digitale, fa le foto.
Tra pochi minuti ci saranno decine e decine di foto della figlia fatte da fotografi professionisti, ma vuoi mettere la soddisfazione di fare una foto alla propria figlia che alza il trofeo?

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20 Commenti a “Anna Chakvetadze remporte à Paris son septième titre en autant de finales.
Anna Chakvetadze conquista Parigi con la settima vittoria su sette finali giocate.”

  1. Roberto Commentucci scrive:

    Ormai, dopo aver visto il video della sua incredibile sfida al pubblico avverso in Fed Cup, il mio tifo va ad Anna Chakvetadze, giocatrice dalla tecnica purissima, viso da cherubino, andatura da gazzella, ma animo di tigre.

    Davai Anna!

  2. anto scrive:

    Ormai, dopo aver visto il video della sua incredibile sfida al pubblico avverso in Fed Cup, il mio tifo va ad Anna Chakvetadze, giocatrice dalla tecnica purissima, viso da cherubino, andatura da gazzella, ma animo di tigre.
    Si condivido e aggiungo, mi sono innamorato di questa russa,dal viso angelico ma dal caratter caliente! Mary Pierce, la Mauresmo, la Bovina, la Petrova, no è lei la numero uno del mondo bella e vincente con il carattere da macho, ma cosa si vuol di più…….

  3. Nikolik scrive:

    La Chakvetadze era la più forte, questa settimana.
    Penso che sarà la più forte in molte settimane, quest’anno.

  4. remo scrive:

    Si ha la netta sensazione che la battaglia di nervi in Israele abbia rafforzato il carattere della bella Anna. Andrò a controllare, ma non credo ci siano stati altri capaci di vincere le prime sette finali disputate nel circuito.
    Bravissima!

  5. Roberto Commentucci scrive:

    Nuova settimana e nuovo torneo, questa volta ad Anversa, dove va in scena un altro tier 2. A nobilitare il campo di partecipazione c’è anche la padrona di casa e n. 1 del mondo Justine Henin, mentre Anna “Come On!” Chakvetadze è la tds n. 2.

    Fra le azzurre è in gara Karin Knapp, che ha appena superato il primo turno battendo 76 64 la francese Dechy, appena due anni fa n. 11 del mondo, ma ora in deciso calo.

    Karin, che ha recuperato da 1-3 nel primo e da 0-2 nel secondo set, ha sbagliato molto di rovescio, però ha servito molto bene. Ora per lei c’è la possibilità di avanzare ancora. Dovrà infatti affrontare la russa Yaroslava Shvedova, n. 75 Wta, che ha battuto a sorpresa la testa di serie n. 5 Sybille Bammer, una delle poche tenniste mamme del circuito.

  6. Monique Filippella scrive:

    Vado un po’ controcorrente, ma la finale di ieri è stata veramente bruttina… Nervosismo alle stelle, tantissimi errori, gioco monotono. Certamente la Chakvetadze ha dimostrato grande grinta e capacità di tenuta mentale, ma sa giocare molto meglio di così. La settimana prossima interessante rientro in patria di Justine Henin in un torneo destinato a trasformarsi in esibizione (ma continuerà ad essere in palio una bella racchetta di diamanti, con differente disegno, che dovrebbe invogliare le tenniste alla partecipazione!). Altre notiziole: la Pennetta sarà testa di serie n.1 a Vina del Mar, Sesil Karatancheva è rientrata nel ranking WTA e la Jankovic pare si sia fatta di nuovo male alla schiena!

  7. stefano grazia scrive:

    c’è anche la padrona di casa e n. 1 del mondo Justine Henin, mentre Anna “Come On!” Chakvetadze è la tds n. 2.

    Scusate ma devo correggere:c’è anche la padrona di casa e n. 1 del mondo Justine “ALLEZ!!!”Henin, mentre Anna “Come On!” Chakvetadze è la tds n. 2.

    E questo conferma quanto io ho sempre sostenuto: che i C’MON,gli ALLEZ!e gli AIDJE (o come si scrive) e i VAMOS!!! vanno bene se li fanno i nostri beniamini,meno bene quando li fanno gli altri… PER SMENTIRMI, ANGELICA DOVREBBE ANDARE DIRETTAMENTE AD ANVERSA E SCRIVERE UN PEZZO STRAPPALACRIME SU JUSTINE E IL SUO RICONGIUNGIMENTO FAMIGLIARE, LA SUA ATTIVITA’ D’IMPRENDITRICE (le Academies in collaborazione anche con Panajoti),IL SUO AMORE PER IL BALLO …
    Eh,vabbè, toccheraà ancora a me…guardate che se ho scritto tutte quelle pagine su Rios, su Justine ve ne toccheranno almeno il doppio… Angelica, salvali tu, i nostri bloggers!

  8. Roberto Commentucci scrive:

    Stefano, come si dice a Roma: nun ce provà!

    La Chakve ha urlato i suoi “come on” sempre e solo dopo aver tirato colpi vincenti e non sugli errori dell’avversaria, nonostante la bolgia indegna di Ramat Hasharon.

    Justine è indifendibile sugli Allez, lo fa sempre, persino quando tira la seconda di servizio piano e l’avversaria manda un rovescino molle a metà rete…

    Del resto, se la Chakve iniziasse a fare come on sugli errori dell’avversaria cesserebbe immediatamente di essere la mia beniamina.

    Lascia perdere Stefano! Certe volte la tua ostinazione ti fa sembrare l’avvocato di Totò Riina… (Scherzo!)…

  9. Nikolik scrive:

    Roberto, hai visto la partita di Karin?
    Io solo il primo set.
    Molto, molto migliorata al servizio, mai vista servire così.
    Evviva!

  10. Roberto Commentucci scrive:

    Karin Knapp è al terzo turno del tier II di Anversa. L’altoatesina ha sconfitto poco fa la russa Shvedova per 36 64 62 dopo oltre 2 ore e 30 di gioco. Partita molto brutta, con tantissimi errori. La russa è una tennista particolare, non particolarmente potente ma con un gioco piuttosto vario, fatto anche di tocchi, palle corte e lob. Ha un ottimo rovescio, ma ha anche il diritto più falloso che io abbia mai visto a livello WTA, ne ha sbagliati un’infinità.
    Karin ha giocato molto al di sotto delle sue potenzialità. Poco assistita dal servizio, dopo un primo set orribile, nel quale i cambi di ritmo dell’avversaria l’hanno mandata in confusione, ha rinunciato a fare il suo abituale gioco e si è limitata a svolgere diligentemente il compitino tattico, cercando di tenere lo scambio sulla diagonale destra. Ha funzionato, perché la Shvedova non è stata capace di trovare contromisure e, come detto, di diritto ha sbagliato l’impossibile, consegnando di fatto il match a Karin.
    L’altoatesina ha avuto un tabellone fortunato, ma è apparsa lontana dalla sua miglior condizione. Domani dovrebbe vedersela con la mancina svizzera Schnyder, contro la quale fece un’ottima figura lo scorso anno al terzo turno del Roland Garros, quando sfiorò la vittoria.

    Segnalo che sul sito del torneo è visibile in streaming il campo centrale, a questo link:

    http://www.sport.be/proximusdiamondgames/2008/eng/

  11. pibla scrive:

    Riporto qui, perché più pertinente, il commento già fatto in altra parte del blog:
    Andreas, Karin…..
    A Caldaro si lavora bene ragazzi, altro che storie, il che in un certo senso fa anche rabbia perché guarda caso nell’estremo nord del paese due ragazzi, italiani sì, ma comunque altoatesini e quindi anche con cultura e tradizioni tedesche, riescono ad emergere, a dimostrazione del fatto che basta lavorare bene e con abnegazione e poi i risultati arrivano e come se nelle altre zone d’Italia non fossimo in grado di produrre dei corretti modelli organizzativi per arrivare al vertice, ah se fa rabbia….
    Comunque bravissimi Andreas e Karin!!!

  12. Marcelus Edberg Wallace scrive:

    Questa Karin non è male per niente……
    La sindrome del secondo turno per le nostre ragazze non esiste.
    Adesso tocca ai maschi.
    P.S.
    Il c’mon (vamos, allez, ecc.) è il motivo per cui ho cominciato a tifare Edberg contro Becker, e a tifare tutti contro Connors. E’ insopportabile e inelegante.
    Sugli errori altrui, poi, soprattutto dei giocatori molto meno forti di chi lo grida (chiaro, rafa?) è una becera pacchianeria.

  13. angelica scrive:

    Stefano caro, ma non è colpa mia se in questi ultimi tornei che ho seguito la tua adora Justine non c’era e si dedicava ad altro.

    E se permetti fra andare ad Anversa e Doha, considerando che sono un gran freddolosa, scelgo Doha.
    (Come fa Enzo a vivere in quel del Belgio, rimane per me, un gran atto di coraggio! :D )

    Ah visto che se a volte so essere “bastard inside come il pentium intel”:
    malgrado si un torneo ufficialmente ‘belga’ le non lo giocava dal 2003.
    trovo curioso che la Henin giochi Anversa quest’anno dopo il ritiro di Kim

    Roberto è stata un grande quando ti ha detto ‘nun ce provà’ io avrei anche aggiunto “e nun fa lo gnorri’ :P

    anche se con grande ritardo aggiungo:
    1 sono d’accordo con Monique finale bruttina.
    2- assolutamente d’accordo con Remo, Anna dopo il match di FedCup ha rafforzato il carattere. E magari è stata anche un modo per buttarsi alle spalle la bruttissima esperienza che ha vissuto dei ladri in casa.

  14. angelica scrive:

    e per rimanere con i risultati di Anversa
    la Szavay finalista a Parigi, e testa di serie n.6, ha perso da una qualificata :
    Kleybanova d. Szavay 6-2 6-3

    Alisa Kleybanova 18 anni e di nazionalità russa (tanto per cambiare)

  15. Roberto Commentucci scrive:

    Ci spostiamo sulla terra sudamericana. A Vina del Mar, Cile, si gioca un piccolo torneo WTA, un tier III. Le nostre Flavia Pennetta e Sara Errani rispettivamente teste di serie n. 1 e 6, hanno entrambe superato il primo turno. La brindisina ha facilmente battuto l’ungherese Arn (62 62), mentre Saretta ha avuto bisogno di un set di rodaggio prima di travolgere alla distanza la qualificata francese Olivia Sanchez con il puntegio di 16 62 61. Tra poco in campo la terza azzurra, la grintosa veneta Maria Elena Camerin, che affronta la WC locale Melisa Miranda Otarola. Per la Camerin, che cerca il rientro fra le prime 100 dopo un difficile 2007, è un torneo molto importante.

  16. Roberto Commentucci scrive:

    Anche la Camerin va al secondo turno, superando la Miranda Otarola per 63 75. Maria Elena non è una specialista della terra, ma deve assolutamente fare punti per rientrare nelle prime 100.
    Un bel 3 su 3 per le nostre, anche se va detto che il livello delle avversarie era decisamente bassino.
    Da questo punto di vista, resta confermata la capacità del team di Caldaro di tracciare in modo sempre eccellente la programmazione dei loro atleti. La Knapp in questo periodo non sta giocando bene, ma nonostante questo non è andata in sudamerica alla ricerca di punti facili e ha preferito i durissimi tornei indoor europei.
    La sua scelta, sicuramente pagante in prospettiva, perché la porta a confrontarsi sempre a livelli alti, questa settimana sta pagando anche in termini immediati di classifica, anche grazie ad un sorteggio fortunato. Con i quarti già raggiunti, ha totalizzato ben 70 punti, un bottino superiore a quello che avrebbe raccolto in sudamerica facendo semifinale.

  17. Nikolik scrive:

    Bellissima giornata per il nostro tennis, con tanti risultati incoraggianti da parte delle nostre ragazze, aspettando i ragazzi.

  18. stefano grazia scrive:

    Come,Nikolik: niente Viva la FIT?

    angie,roberto…era un affettuoso stuzzicare…la stagione è lunga (ma ahimè,se devo essere sincero e credere all’istinto temo che questo sia un anno no per entrambi i miei beniamini,almeno in termini numerici … speriamo almeno che siano premiati qualitativamente: magari un solo SLAM ma RG per Federer e Wimbledon per ALLEZ JU!
    MA CI PENSATE CHE SAREBBE CONSIDERATA DAI PIU’ N’ANNATA DISASTROSA PER LORO DUE? POCO POCO LI DICHIARERANNO FINITI….

  19. Enzo Cherici scrive:

    Non è così strano che la Henin rigiochi ad Anversa dopo tanti anni e soltanto dopo il ritiro della Cljisters. Come probabilmente saprete, il Belgio è un paese che vive una situazione particolare. C’è un federalismo esasperato, con i fiamminghi e i valloni da sempre ai ferri corti. In breve: se non fosse per Bruxelles, avremmo già da tempo due stati. In questa situazione si colloca la rivalità (sportiva) fra Justine e Kim. L’ultima volta che la Henin ha giocato Anversa s’è presa bordate di fischi. Attenzione: non giocava contro la Cljisters, ma contro una giocatrice non belga. Per i fiamminghi è indifferente, anzi è un’aggravante. Vallona uguale nemica. In tutti questi anni quindi Justine s’è tenuta comprensibilmente alla larga da questo torneo. Sono curioso di vedere come verrà accolta quest’anno, ora che la Cljisters non gioca più.

    PS Angelica se fai aprire un ufficio della Commissione europea alle Maldive ti prometto che vado subito ;-)

  20. Roberto Commentucci scrive:

    La nostra Flavia Pennetta è la blogger della settimana sul sito WTA. Questo è quanto ha scritto ieri:

    —–

    Tuesday, February 12, 2008

    Hello again everyone!

    It has been a while since the last time I wrote the blog. That was a difficult time for me. I was trying to find my game again after coming back from surgery on my wrist and had lost a lot of confidence. Roland Garros was the worst time for me, probably the worst time of the year. But then things just started to change afterwards - I did well in Barcelona (where I wrote my first blog) and started to see a sports psychologist about once a week, and it helped a lot. I focused on my tennis a lot more from there and after nearly falling out of the Top 100 in the summer I’m now almost back in the Top 30. It’s good to be back!

    And now I’m here in beautiful Viña del Mar, the first year for this tournament. I love being here. There’s a men’s tournament here too and they’ve always said it’s a really nice place. For me, a tournament nearby a beach is perfect. This city never sleeps though! At 7:30 on Sunday morning this loud dance music started playing outside and I woke up and had no idea what was going on! I didn’t know where it was coming from or what it was or anything… I thought maybe some of the players were just coming back from Saturday’s player party - which, by the way, was excellent - but it ended up being the start of a marathon. I wouldn’t ever run a marathon that early in the morning!!

    Monday began fine for me, practicing in the morning with my coach Gabriel, but then I started feeling really bad. I had a fever, stomach pain… I was in the room from 3pm until this morning. Now I’m feeling a lot better. I had a pretty good match today too. I knew I wasn’t feeling my best, but I think that helped me focus on just playing solid tennis. My doubles partner, Gisela Dulko, has a leg injury and had to pull out of the doubles draw, but it happens and I completely understand. Hopefully she’ll still be okay for the singles :)

    I have a day off tomorrow but no big plans for tonight really. Maybe I’ll have a drink with my coach or go out for food or something. Something quiet. I will have time after the tournament is over to enjoy the city!

    Talk to you all tomorrow,

    Flavia

    —————-
    Non ho tempo per tradurre tutto, comunque in breve Flavia ci dice che durante il suo periodo più buio, lo scorso anno, quando non riusciva più a ritrovare il suo gioco dopo l’intervento al polso sinistro, si è rivolta ad uno psicologo sportivo, che vedeva una volta la settimana, e ne ha tratto beneficio.
    Inoltre, lunedì scorso a Vina del Mar ha avuto problemi di stomaco e febbre, ma è riuscita a recuperare e a vincere il suo match di primo turno.

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