Festival français à Coubertin
Festival francese al Paris Open

 
7 Febbraio 2008 Articolo di Angelica
Author mug

Nell’ International Press Clipps trovate James Martin sul coach segreto di Federer, Paul Newman sull’attacco di Jamie Murray nei confronti del fratello, Jon Wertheim e Derrick Whyte sulla rabbia della Sharapova in Israele ed altro ancora.

Click here to read James Martin on Federer’s secret coach, Paul Newman on Jamie and Andy Murray’s war, Jon Wertheim e Derrick Whyte on a “spurred” Sharapova and more news.

Clicquez ici pour lire Bastien Aubert et Peggy Bergere à propos de l’Open Gaz de France, Geoffroy Bresson et Cédric Callier à propos de la Coupe Davis et autres nouvelles.

Gaz de France. Sponsor curieux pour un tournoi de tennis. Gaz. Énergie. Comme si nous avions Eni Open d’Italie, Ce sera la langue française, mais je préfère Gaz de France que Organisme National Hydrocarbures.

Gaz de France. Sponsor curioso per un torneo di tennis. Gas. Energia. Come se noi avessimo Eni Open d’Italia. Sarà la lingua francese, ma suona molto meglio Gaz de France che Ente Nazionale Idrocarburi.

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Campo 1 la piscina rovesciata

Traduzione a cura di Marine Andrieux

Festival français sur le court centrale, peut être aisse meilleur de dire “l’après midi de l’équipe de Fed Cup française”

Dechy – Peng 64 76

Revanche de la Fed Cup Chine/France ou presque.
Peng n’a pas jouer le deuxième jour après qu’elle ait perdu le premier match contre Razzano, donc Dechy a jouer contre Zi Yan, gagnant sont match et peut être le capitaine français a était péner de laisser jouer Cornet a la place de Dechy. Et peut être vue comment elle a jouer aujourd’hui Goven regrette encore plus. Après que Dechy ait gagner le premier set 6/4 elle a du se battre dans le second set et cela arrive souvent dans les matchs serré elle commença a se plaindre des décision arbitral a l’arbitre de chaise, a 6/5 sur son service la balle qui donner le break pour l’arbitre était très proche de la ligne, mais pour Dechy c’était dehors évidement, elle allât sur la ligne et montras la marque comme sur la terre battue, la montra a l’arbitre et avec ses doigts elle montra la mesure de la longueur a laquelle la balle était tomber de la ligne. Maintenant, il n’y a pas de Hawk-eye, vous jouer sur une surface rapide, l’arbitre de chaise ne change pas ses décisions… vous server pour le match mais pourquoi donc vous vous plaignez comme Candide. Et donc, elle perd aussi le point et doit jouer le tie break que l’on pourrait appeler le festival des opportunités gâchés. La française et a 5-1 contre elle puis 6-2 et elle gagne 5 points d’affiler qui annule les 4 points du set de la chinoise et elle a une balle de match. Mais elle la gâche encore, nouveau point de set pour Peng, perdu, une autre balle de match pour Dechy. Mais est-ce que quelqu’un veut gagner se set? Oui Dechy qui gagne le match. Goven était en premier loge pour regarder le match, je me demande quand il retournera dans une restaurant chinois.

Virginie Razzano - Alona Bondarenko 62 46 75

Aujourd’hui jouer l’autre sœur Bondarenko, Alona sur le cour, Kataryna le coach. Au début du match Kataryna écouter sont I-Pod. Un mauvais regard de la sœur et l’I-Pod, a disparue. Razzano après sa bonne fin de saison de l’année dernière continue de jouer bien, toujours avec un pied dans le court, alors que Alona c’est parfois 1 ou 2 mètres derrière la ligne de fond. Une chose que je ne peut pas comprendre, c’est qu’il ont besoin du coach sur le court spécialement quand on gagne. A 5/2 pour Razzano elle demande a parler a son coach. Alona ne savait pas que cette année le règlement avait changer: on peut demander le coach une fois par set a la fin du set ou pendant le set et chaque fois que l’adversaire a une “injury-time”, donc quand elle a vue le coach français sur le court elle regarda l’arbitre de chaise en disant “ Eh, je n’ait pas fini le set”. L’arbitre, la tranquillisait sur les nouvelles règles. Le jeux suivant elle perde le set. La sœur Kataryna durant tout le set ne dit pas un mots d’encouragement, ce lève et ce prépare a aller sur le court, Alona ne pris pas attention a elle et aller au toilette. Dans le deuxième set, 2/3 finalement il y a les premiers encouragement de la petite sœur Ukrainienne, c’était les seuls applaudissements. Mais peut être est-ce bien car la sœur commence a jouer mieux et elle mène 5/3 et gagne 6/4. Cette fois la sœur coach est appeler sur le court. En même temps Razzano va au “Locker room” (salle des joueuses) les deux sœurs considérant que la française prenait du temps a revenir sur le court on une petite discussion, peuvent boire une tasse de thé, décider de leur soirée. Peut être Virginie est seulement entrain de faire une sieste pour ce sentir mieux a cause du décalage horaire. Finalement elle reviend sur le court. A 1/0 pour Razzano et 30-15 pour Bondarenko, la française demande a l’arbitre de chaise son coach pour le changement de côté. Einstein dit que le temps est une valeur relative: ce concept est tellement vrai quand on parle des 3 minutes de temps médical. Habituellement ces 180 seconde peuvent se transformer en 8-10 minutes. Alona demande encore son coach, Kataryna, sur le court peut être avait elle oubliait la liste des courses, parler des dernières rumeurs ou peut ,être qu’Alona ne voulait pas rester seul sur le court. Le problème avec la française se situer sur l’arrière de la cuisse. Au changement de côté, un autre retour du coach mais cette foi seulement pour les 90 secondes du changement de côté, elle pris plsu de temps pour revenir sur le court et l’arbitre lui donna un avertissement. Mais a 3/2; 15-40 pour Bondarenko, pour aider la française le public réagies au fur et a mesure le court central se remplie, les professionnel de l’encouragement français sont présent et toutes la foules y participes. 4/4, 5/5, 6/5 Razzano, Bondarenko au service, même si le match n’est pas encore fini les enfants comme des vautours descendent avec leur grosse balle de tennis jaune arrive prét de la sortie, prêt pour demander les autographes. Les spectateur devienne de plus en plus chaud et les soutiens de Virginie gronde pour sa balle de match. Le moment que je préfère dans une partie de tennis c’est quand toutes la foule ce tait juste avant une balle importante, on peut sentir la tension. Et l’explosion du public quand Razzano gagne.

Alizé Cornet Klara Zakopalova 46 62 61

Zakapalova et connu comme la fille qui ne sourit jamais, si vous regarder l’un de ces matchs vous ne pouvez jamais deviner avec sont expression si elle gagne, et souvent on pense qu’elle perd d’une très mauvaise manière alors que eût être le match est très combatif et que le score est en sa faveur, comme dans le premier set qu’elle gagne 6/4. De l’autre côté il y a la jeune Cornet; au contraire elle, elle sourit tout le temps, souvent, même quand elle perd le 1er set. Quand elle gagne le 2éme set on a le droit a un sourire avec toutes ses dents. Les bras vers le haut, en remercient tous le monde en se courbant. A la deuxième balles de match elle gagne le match. Quand elle quitte le court après avoir signée de nombreux autographes, elle signe aussi la peinture de son match fait par le peintre qui officie aussi a Roland Garros. Et ensuite elle survie a l’accolade plutôt serré de sa mère.

Dementieva – Kvitova 76 62

Elle frappe fort, beaucoup. Elle trouve la ligne souvent, vraiment souvent, elle est grande mais elle bouge bien, elle n’a pas peur mais elle est moin jolie que Dementieva. Même si Petra Kvitova perd elle a jouer un très bon match, surtout pendant le 1er set, elle amuse les spectateurs a la défaveurs de la mère de Dementieva qui a souffert? Dans se tournoi Petra a gagner trois match en qualification et la victoire au 1er tour sur Medina Guarrigues et a fatiguer Dementieva. Si on pense qu’elle n’aura que 18 ans en mars elle a de l’avenir. Pour Dementeiva ce fut un match ou a dut jouer bien, vraiment bien tout les points, et ce qu’il fait la différence a la fin. 1er set, 2/2, break Dementiva, de-break Kvitova, Elena souffle de désespérance, 3/3, et dé-dé-break de Dementieva. Et elle garde son service malgré 2 doubles fautes ( les bonnes veilles habitudes ne meurt jamais )
Et un ace, 5/3. On pense que le premier set est fini mais visiblement non, et même Elena le savait car elle commence a se parler a soit même. Safin et Dementieva pourrait écrire un livre: Les Russes et l’art de se parler a soit même ( je suis très fière de moi, j’ai peut écrire le nom de Safin même en parlant d’un match féminin ). A 5/4 elle sert pour le set mais peut être que quelqu’un devrait lui dire. Kvitova continue de jouer avec les ligne et c’est 5/5 . Dementieva fait de même, et on arrive au tie-break. La Russe gâche de point de set et après un incroyable rallye elle gagne 9-7. Maintenant, selon moi ces deux la on trouver un accord et elle se sont dit que: “ pour s’amuser un peu on doit jouer sur les 50 dernier centimètre, si ce n’est pas dedans cela ne compte pas.” “Pas de problème pour moi.” Parce que sinon on ne peut expliquer le pourquoi elle jouer tout le temps sur les lignes. Mais vous avez 11 mètres et 85 centimètre sur le court mais pourquoi utiliser la dernière partie du terrain? Elena a du se battre pour gagner contre la Tchèque, mais aussi pour ce parler a soit même et se battre avec ses chaussettes. On enlève les chaussures et on remet bien les chaussettes. Deux points plus tard et desserre les lasser et les resserre. Changement de côté, deux point et lasse les deux chaussures remet une seul chaussette, elle ressert encore sa chaussure. ( Mais si ces chaussettes vous donne des problèmes, changer l’ait!) Et en même temps elle a une drôle de manière de lasser des chaussures. Si vous y prêter attention. Dans le second set Kvitova a décider de jouer dans les 20 dernier centimètre du court. Mais elle prend trop de risque, toute la machine s’écroule, plsu rien ne fonctionne et la Tchèque détruit toute l’entreprise, jeu set et match. Durant l’interview sur le court le journaliste joue au Don Juan: “ Elena quand tu n’est pas la, ton élégance, ton sourire nous manque” elle le regarde comme pour dire “Tu est aveugle, je suis devant toi”
Bon peut être ne penser t’elle pas aveugle mais presque. Le Don Juan continue de dire: “L’année dernière tu n’a pas jouer ici et tu nous a tellement manquer”. Bien jouer, mais l’invitation a diner je t’en prit tu me le met dans le prochaine interview. Mais Elena et une personne gentille, agréable et polie. Elle part du court et sa mère juste après sa victoire qui avait déjà commencer a envoyer des sms a tous le monde après sa victoire, l’attente a l’entrée du “locker room”, Elena avant de rentrée dans la salle pouponne les cheveu de sa mère. C’est un acte tendre. Enfin , c’est plutôt quelque chose que vous faite a un chat, mais sa mère sourit et oublie tout.

IN ITALIANO

Il torneo si gioca allo Stadio De Coubertin. Quello della famosa frase (che poi sembra lui non disse) l’importante e’ partecipare. E a vedere lo stadio sembrerebbe così. Piccolino, solo 2 campi, pochi spazi ma ben organizzati.
Il colore ‘ufficiale’ e’ il viola. E tutte le sue sfumature fino ad arrivare al rosa.
Il campo e’ color vinaccia, mentre la parte esterna è color cipria. La parte basse della pareti ha tendoni viola. La parte alta, invece e’ color giallino.
Insomma può ricordare una torta gelato crema e mirtilli.

Tutti quelli che ci lavorano cercano sempre di essere gentili con tutti. Sorrisi e cortesia. Gli uomini della sicurezza, quelli che controlla i biglietti, tutti quelli che lavorano nell’organizzazione del torneo, i ragazzi dei bar. A così tanta cortesia (anche fosse solo formale) non ci sono quasi più abituata.

Per mangiare, ci sono questi due mini bar. Uno per ogni tribuna. Prezzi tendente all’umano:
Hot dog 3.5 euro
Baguette (a scelta pollo, tonno, cotto e burro) 4 euro
Club sandwich 3.5 euro
Acqua Evian 30 cl. 2.5 euro
Coco-cola, Tè freddo, Succo d’arancia lattina 33.cl 2.5 euro
Caffè Lavazza, cioccolata, tè 1.5 euro

Gli arbitri, 4 uomini e 2 donne, come divisa, hanno un bel maglioncino rosa. Ma forse i gentiluomini non lo considerano un colore adatto a loro e preferiscono indossare solo la maglietta…grigio topo con qualche righina. Però non sembra donargli molto. Meglio le ragazze in rosa, che gli uomini in grigio topo, no?

Festival Francese sul centrale, o meglio l’intero pomeriggio per la squadra di FedCup Francese

Dechy – Peng 64 76

Rivincita della FedCup Cina-Francia o quasi.
La Peng non fu schierata il secondo giorno, dopo che aveva perso il primo incontro con la Razzano, così la Dechy giocò contro Zi Yan, vincendo il suo incontro e forse facendo un po’ pentire il capitano francese di aver schierato la Cornet al suo posto.
E per come ha giocato oggi, forse i rimpianti di Goven aumenteranno.
Dopo aver vinto il primo set 64 si e’ ritrovata a lottare nel secondo. E come spesso le succede quando si tratta di match tirati, ha incominciato a lamentarsi con l’arbitro per chiamate, a suo dire dubbie. Sul 65 e servizio, la palla che ha dato il break point secondo l’arbitro era molto vicino alla linea. Secondo la Dechy era fuori. Ovviamente. Si e’ inginocchiata sulla riga, ha cerchiato il segno come se fosse sulla terra battuta , ha mostrato il segno all’arbitro e poi con le dita ha fatto vedere di quanto fosse fuori.
Ora, non c’è hawk-eye, sei su una superficie veloce e l’arbitro non cambia decisione…stai servendo per il match ma perché lo fai benedetta ragazza?! E infatti perde pure il punto. Ed e’ costretta al tie break che potrebbe anche essere ribattezzato il festival delle occasioni sprecate. La francese va sotto 5-1 poi 6-2, fa 5 punti di seguito annullando 4 set point alla cinese e si ritrova con il match point. Ma lo spreca, nuovo set point Peng, annullato, ancora match point Dechy. Ma qualcuno lo vuole vincere ‘sto set?? Si la Dechy che vince anche la partita. Goven, era in prima fila a guardarsi la partita, chissà quando tornerà in un ristorante cinese.

Virginie Razzano - Alona Bondarenko 62 46 75

Oggi giocava l’altra sorella Bondarenko, Alona in campo, Kataryna a fare da coach. All’inizio del match Kataryna ascoltava l’ipod. Occhiataccia della sorella e l’ipod spariva.
La Razzano, dopo il bel finale di stagione dello scorso anno, continua a giocare bene. Sempre con un piede dentro il campo. Mentre Alona sta un metro anche due dietro la linea di fondo.
Una cosa che non riesco a comprendere e’ il bisogno di avere il coach in campo. Soprattutto quando stai vincendo. Sul 5-2 a suo favore, la Razzano chiede di parlare con il coach.
Alona non sa che da questo anno la regola è cambiata: si può chiedere il coach una volta per set alla fine del set oppure durante il set ed ogni volta l’avversaria usufruisca di un Injury-time. Così quando ha visto entrare il coach della francese ha guardato l’arbitro come per dire: ‘Ehi ancora no ho perso il set!’ L’arbitro l’ha tranquillizzata sulla nuova regola. Il game dopo perdeva il set 62.
La sorella Kataryna che per tutto il set non aveva detto una parola di incoraggiamento si è alza pronta ad entrare in campo. Alona l’ha ignorata uscendo per un toilette-break.
Nel secondo set, sul 2 a 3 finalmente si sente il primo incoraggiamento della sorellina ucraina.
Unico applauso. Si vede che fa bene, la sorella incominci a giocare meglio e si porta 5 a 3 per poi vincere 64. Questa volta la sorella-coach viene chiamata in campo mentre stavolta era la Razzano a prendere la via dello spogliatoio. Le due sorelle, visto quanto ci impiega la francese a tornare in campo, fanno due chiacchere, potrebbero prendere un tè, decidono i programmi per la serata.. Chissà forse Virginie ne ha approfittato per un sonnellino per riprendersi dal fuso orario della Cina. Finalmente torna. Sul 1-0 Razzano 30-15 Bondarenko la francese chiede all’arbitro l’intervento del trainer al cambio campo. Einstein diceva che il tempo è relativo: mai concetto è più vero se applicato al medical time out di 3 minuti. In genere questo 180 secondi hanno la capacità di dilatarsi fino a sembrare altri 8-10 minuti. Alona chiede ancora il coach-Kataryna in campo. Magari si erano dimenticate di fare la lista della spesa, raccontarsi gli ultimi pettegolezzi o forse Alona non voleva essere sola.
Il problema della francese è nella parte posteriore della coscia e lo avverte al servizio.
Cambio di campo, altra richiesta del trainer, che però stavolta può stare solo i 90 secondi del cambio campo. Ci mette più del dovuto la Razzano a tornare in campo e l’arbitro le dà un warning per ‘time violation’.
Ma sul 3-2 15 - 40 Bondarenko, ad aiutare la francese entra in gioco il pubblico. Piano piano il centrale si è riempito, i professionisti del tifo alle giocatrici francesi sono lì con i bongo ad incitare e tutto il pubblico incomincia a partecipare. 4 pari, 5 pari, 65 Razzano servizio Bondarenko. Anche se il match ancora non è finito, i bambini (stile avvoltoi) si precipitano con le grandi palle gialle da tennis vicino all’uscita delle giocatrici pronti a chiedere l’autografo.
Il pubblico è sempre più caldo e incita Viginie che si procura un match point. La parte che mi piace in una partita è quando il pubblico applaude e incita per poi, improvvisamente, far calare il silenzio piu’ totale quando la giocatrice sta per servire. Si avverte veramente la tensione.
Che poi si scioglie in un urlo quando la Razzano vince.

Alizé Cornet Klara Zakopalova 46 62 61

Zakapalova è nota anche come la ragazza che non sorride mai. Se vedi una sua partita non riesci mai a capire dalla sua espressione se sta vincendo. Anzi, spesso pensi che stia perdendo di brutto invece poi magari il match è lottato e il punteggio è in suo favore.
Come nel primo set che la Ceca vince per 64
Dall’altra parte c’è la giovane Cornet, che invece sorride sempre. Sorride spesso anche quando perde il primo set. Quando vince il secondo stiamo a sorrisi a 36 denti.
Braccia al cielo e ringraziamenti quasi con inchino al pubblico quando al secondo match point chiude l’incontro. All’uscita dal campo, dopo aver firmato decine di autografi, firma anche il disegno-acquarello del suo match eseguito dal pittore del torneo e di Rolang Garros. E dopo riesce a sopravvivere ad un abbraccio stritolante della madre.

Dementieva – Kvitova 76 62

Tira forte, tanto. Tira sulle righe. E le centra spesso, molto spesso. E’ alta ma si muove bene. Non ha paura ma è meno bella della Dementieva.
Anche se Petra Kvitova ha perso, ha giocato una gran bella partita, sopratutto il primo set ha fatto divertire gli spettatori, meno la mamma della Dementieva, che ha sofferto un pò.
In questo torneo, Petra, ha vinto 3 match di qualificazione, ha battuto al primo turno la Medina Garrigues senza appello e fatto faticare tanto la Dementiva. Se si pensa che ha solo 18 anni a marzo, promette bene. Per la Dementieva un match in cui ha dovuto giocare alla grande, ma veramente alla grande, i punti che contavano. Questo ha fatto, alla fine, la differenza.

Primo set, 2 pari. Break Dementieva, contro break Kvitova. Elana sbuffa. 3 pari. E contro-contro-break Dementieva. Poi tiene il servizio facendo 2 Doppi Falli (le vecchie care abitudini non muoiono mai) e un ace, 5-3. Sembra che il primo set sia chiuso.E invece no.
E questo lo sa anche Elena che comincia uno dei suoi soliloqui.
Safin e Dementiva e potrebbero scrivere un saggio ‘I Russi e l’Arte del Soliloquio’ (sono molto fiera di me, sono riuscita a citare Safin anche parlando di un match femminile !!!)
Sul 5 a 4 serve per il set. Ma forse qualcuno doveva avvertirla. La Kvitova continua imperterrita a giocare sulle righe. E fa 5 pari. La Dementieva pure punta alla righe. E si arriva al tie break. La russa spreca 2 set point. E dopo uno scambio fantastico chiude per 9 a 7.
Ora, secondo me, ‘ste due si sono messe d’accordo e si sono dette :’Per divertirci un po’ si fa che si gioca negli ultimi 50 cm di campo. Altrimenti non vale. Va bene ci sto’. Perche altrimenti non spiega per quale motivo stavano sempre a puntare alle righe. Ma insomma hai 11 metri e 85 cm di campo a disposizione, ma perché devi consumare solo l’ultima parte del tappeto? (a proposito, Karlovic80 non è appassionato di tennis femminile, ma lo dico lo stesso: si gioca sul GreenSet)

Elena oltre a dover giocare bene per tener testa alla Ceca, ha fare i suoi soliloqui,ha un’altra battaglia da vincere: quella con i calzini. Togli la scarpa, sistema il calzino. Due punti dopo, slaccia la scarpa, riallaccia la scarpa. Cambio di campo: slaccia entrambe le scarpe sistema un calzino, riallaccia le scarpe. (Ma cambiare ‘sti calzini se ti danno fastidio no?) Tra l’altro ha un modo curioso di allacciarsi le scarpe. Se vi capita fateci caso.
Nel secondo set la Kvitova decide di giocare a 20 cm della riga di fondo. Ma prende troppi rischi. E qui, purtroppo per lei casca l’asino, precipita la mucca e la Ceca distrugge una fattoria e perde set e il match.

Nel post intervista in campo, l’intervistatore fa il “piacione”: ‘Elena, quando tu non ci sei, qui manca la tua eleganza, la tua grazia’. Lei se lo guarda come per dire ‘A cecato, ma se sono davanti a te’ (va bè magari proprio la parola cecato non l’avra’ pensata). Continua Mr. Piacione ‘lo scorso anno non hai giocato e ci sei mancata tanto’ Bravo, l’invito a cena però alla prossima intervista per favore. Ma Elena è gentile, sorride, ringrazia.
Esce dal campo mentre la madre, che subito dopo la vittoria a incominciato a mandare sms a tutti, l’aspetta sulla porta degli spogliatoi e la figlia entrando le fa un grattino sulla testa. Gesto tenero. Oddio è più un gesto che si farebbe ad un gatto ma il sorriso della madre perdona tutto.

Szavay – Garbin 6-3, 4-6, 6-2.
Vai Tatiana !!!!!!
All’inizio se la gioca e anche discretamente bene. Va in vantagio 3 a 0.
Poi non si capisce quasi come perde il primo set 63 o meglio perde 7 giochi di fila vincendo solo 3 punti e si trova 63 10.
A vedere la partita sono rimasti in pochi. Giornata lunga e la maggior parte degli spettatori sono tornati a casa.
Chi non si muove sono invece le 4 ragazze francesi (anzi 3 francesi ed una belga) che erano anche a Napoli per la FedCup.
Loro incoraggiano Tatiana ad ogni punto. Sempre. E Tatiana non molla. Si, la Szavay non starà giocando ai suoi massimi livelli, ma e’ anche merito della Garbin, non molla un punto e gioca ogni colpo con una rotazione differente. L’ungherese fa qualche errore di troppo, anche provocato dall’italiana che vince il secondo set 64.
E il tifo del ragazze continua incessante ‘Forza Tatì’ ‘Brava’ ‘Alè’. Sono solo 4 ma nello stadio si sentono solo loro e quei pochi che sono rimsti vengono trascinati dal loro battimano,
Comincia il terzo set e non e’ mica detto che Tatiana non porti a casa la partita.
Solo che la fortuna non è dalla sua parte stasera.
Nel terzo gioco, in un recupero con la racchetta, si colpisce il ginocchio. Un brutto taglio. Sangue, tanto, che scende sulla gamba. Sembra piu’ un’immagine di rugby, da pugilato che da campo da tennis. Si asciuga e continua a giocare ma continua anche il sangue a colare . E Tatiana si ferma , ci sono macchie di sangue sul campo. Ma l’arbitro le dice che deve continuare fino alla fine del gioco prima che la fisioterapista possa entrare in campo. A me sembra una applicazione della regola troppo severa. Come puo’ un taglio del genere con tutto il sangue che le cola sulla gamba non influenzare il gioco di Tatiana? Riesce comunque a vincere il game. L’asciugamano con cui tampona il sangue fa abbastanza impressione. Finalmente le viene curata la ferita e applicato un cerotto. Ma da qual momento, l’ungherese non si lascia sfuggire la partita. Chiude 62.
Ma ha dovuto faticare per 2 ore e 29 minuti. E senza quel problema al ginocchio per l’italiana forse faticava anche di piu’.
Peccato davvero. Tutto si potrà dire della Garbin , ma non che non abbia coraggio.

ENGLISH VERSION

Traduzione di L. Ferra

It’s a strange sponsor for a tennis tournament. Gas. Energy. It’s like if in Italy we had the Eni Open d’Italia. Maybe it’s the French language but Gaz de France sounds much better than the Italian translation would sound.
This tournament is played at the De Coubertin Stadium, De Coubertin being the one who said the famous sentence (which in the end he didn’t say) “it is important just to participate”. And you’d say this is true if you see the stadium, which is small, has only 2 courts, and a few, well organized open spaces. The official colour is violet, with all its gradations up to pink. The court is bordeaux , its outer part is light-coloured, the bottom walls are again violet while the top walls are yellow. This court could remind us of a blueberry and cream pie. The staff is very kind, everyone wants to be nice to everyone else, they smile and they are gentle. The security people, ticket-office people, all the staff involved in the tournament, including barmen, are all kind. I’m not used to such kindness any longer.

The foodcourt is organized in two mini bars, one for each stand. And the prices are affordable :
Hod dog 3.5 €
Baguette (breast, Tuna and butter) 4 €
Club sandwich 3.5€
Acqua Evian 30 cl. 2.5 €
Coke, ice tea, orange juice 33 cl 2.5€
Lavazza coffee, chocolate or tea 1.5 €

The umpires, 4 men and 2 women, wear a nice pink sweater. Perhaps the 4 gentlemen do not consider pink to be a colour for..men, and they prefer to wear only the grey t-shirt with small stripes. However the women look better in pink than the men do in grey, right?

French festival on centre court, or should I say, French Fed Cup team afternoon?

Dechy-Peng 63 76
French revenge on China, or it at least its close to be like this. Peng was not playing on the second day, after she lost on the first one against Razzano. That’s why Dechy played against Zi Yan, winning this match and maybe making the French captain repent of his choices in choosing Cornet at her place. And looking at how she played today, it might be possible that Goven starts repenting even more. After winning the first set 64 had she to fight in the second one and how it always happens in though matches did she start complaining with the chair umpire about close calls. On her serve at 65, the ball that gave the break point was, for the chair umpire, very close to the line. For Dechy it was out, obviously. She went down to her knees and showed the mark like it would be on clay, showing with her finger how much it was out.
Now, there isn’t a Hawk Eye and you are on hard court, and you know that the chair umpire doesn’t change his mind. You are serving for the match… my goodness, why the hell you do that? Obviously did she loose the point and they had to play tie break, that for this occasion could get a new name; Festival of the wasted points! The French was loosing 5-1 and then 6-2, she was able to get 5 points in a row, undoing 4 set points of the Chinese player. Now she has a match point, but she cant win the match. Set point Peng, and she looses it. Match point Dechy.. hey, does anyone want to win this set?? Ok, Dechy gets the point and the match and Goven was in the first row watching the match, I wonder when they will go back to a chinese restaurant!

Virginie Razzano - Alona Bondarenko 62 46 75
Today was the turn of the other Bondarenko sister, Alona. Kataryna was in the box, doing the coach. At the beginning of the match Kataryna was listening to her Ipod, a really bad look at her sister and the Ipod was gone.
Razzano, after her good end of season last year, keeps on playing good and always with one foot in the court, not like Alone that stands one or maybe two meters behind the baseline.
What I really cant understand is the need of having the coach on court, especially when you’re winning. On 52 Razzano asks to talk to her coach, Alona doesn’t know so far that this year the rule has changed and that you can ask for the coach once per set and the end of it or during the set or during the time-injury of the opponent. So, as she saw the coach entering the court she was close to tell to the umpire “ hey, I still haven’t lost the set”! But the chair umpire calmed her and she lost the set 62. Her sister Kataryna, that wasn’t looking at her for the whole set, stood up and made her ready to go on court, but Alone ignored her going for one toilet break. In the second set, on 23 finally you could hear a encouragement word from the uckrain sister in the box, one hand clap. You notice that this is what Alona needs, she starts to play better and leads 53 and wins in the end 64. This time Kataryna was called on court and Razzano leaves for the toilet. The two sisters start to chat on court, drink tea and talk about what to do this evening.. who knows, maybe Virginie wanted to recover from the Chinese jetlag? Finally she come back, at 10 Razzano 30-15 Bondarenko, does the French girl ask the umpire if she can call the trainer and Alona calls her sister-coach. Maybe they forgot to check what to buy at the groceries or the latest gossip or maybe Alone just didn’t want to stay alone.
The problem for the French girl is in the back part of her leg and she feels it when she serves.
Changeover, new call for the trainer, but this time he cant stay more than 90 seconds. It takes more time for him and as Razzano went back to the court she gets a code violation for time violation.
On 32, 15-40 Bondarenko, does the crowd help Razzano. Slowly slowly are the stands full and the professionals of cheering are back for her. 4 all, 5 all. 65 Razzano, at the serve Bondarenko and even if the match still isn’t finished, are the kids already there with their huge tennis balls, ready to be sigend. The crowd gets more and more involved and Razzano gets a match point. The part that I like the most is when the crowd is shouting and yelling but after a few seconds it calms down to wait silently the player’s serve, you can feel the pressure that turns out to be a big yell when Razzano makes the point and wins the match.

Alizé Cornet Klara Zakopalova 46 62 61
Zakapalova is known for being the girl that never smiles. If you watch a match you wont be able to understand from her expression if she’s winning or not. Like in the first set, that she won 64. On the other side there is the young Cornet that smiles all the time, she smiles often when she looses the first set. When she wins the second set she shows 36 teeth. Hands in the air and thanks with a bow to the crowd when at the second match point she is able to close the match. Befor going out she signed a lot of autographs and also the painting that the official Roland Garros painter made for her during this match. After all of it, she could finally go in her mother strong arms.

Dementieva – Kvitova 76 62
She hits hard, very hard. She plays on the lines, often..really often. She is tall but moves good. She isn’t scared but is not as nice as Dementieva.
Even if Petra Kvitova lost, she played a very good match, mainly in the first set. During this tournament she won 3 qualy matches, she bet Medina Garriguese and made Dementieva run. If you think about the fact that she is only 18 in march, it’s a good deal.
First set, 2 all. Break Dementieva, re-break Kvitova. Elana doesnt like it, 3 all. Re-re-break Dementieva, but she can hold the serve with 2 double faults and one ace, 5-3. Looks like the first set is gone, but it isn’t so. Elena knows it aswell and starts to talk alone. Safin and Dementieva could write a book “the Russian art of soliloquy” (I’m so proud of myself, I was able to mention Safin even while talking about women tennis!)
5-4 and Dementieva serves for the set, but maybe someone had to inform her that kvitova keeps on playing on the lines and after an amazing rally she is able to win the set.
Now, I think those girls made this up among eachother “just to have fun do we try to play in the last 50 cm of the court, otherwise it doesn’t count”. Elena has to play well to keep the game on her side, but on the same time she has to struggle with her socks. Put the shoe down, put the socks right. After 2 points, the same. Changeover, remove the laces of both shoes and put the socks right, again. (what do you think about changing the socks, Elena?).
In the second set Kvitova decides to play 20 cm away from the baseline but she risks too much. And here the match ends for her, Elena wins!

After the interview on court, the man interview Elena was trying to be really “nice” to her: “Elena, when you’re not here there is your elegance and your grace is missing” She looks at him as saying “Are you blind, I’m in front of you!”
“Last year you didn’t play, but we missed you incredibly!”. (Ok Mr.Nice, you’ll ask her a date at the next interview). Elena smiles, thanks him for those words and is nice as usual.
She leaves the court and her mother starts to send sms to all the phone numbers she owns, but she is already there, waiting for Elena at the lockroom’s door. Elena touchs gently her mums head, a sweet gesture.. but maybe its more something you would do to your cat, but a mothers smiles makes everything be forgotten.

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22 Commenti a “Festival français à Coubertin
Festival francese al Paris Open”

  1. dyana scrive:

    Un articolo per cominciare bene la giornata. Grazie, Angelica! Tra l’altro, sono felice di leggere finalmente un commento positivo sulla Kvitova, che a me piace un sacco.
    Come purtroppo previsto, una Szavay tutt’altro che in best shape riesce comunque a vincere.

  2. marcos scrive:

    ma come scrivi bene… angelica!

  3. Francesca scrive:

    Grazie di tutto Angelica!
    Quando il pubblico incita e poi, improvvisamente, si ammutolisce è veramente emozionante!!
    Grazie ancora

  4. andrew scrive:

    grazie per farci conoscere questo torneo in modo così globale…

    meno grazie per la descrizione dei colori all’inizio…ho tuttora problemi a digerire la colazione…

  5. Monique Filippella scrive:

    Angelica, ricordati che stasera hai un compito fondamentale, ti voglio in grande forma! ;-)
    Come del resto hai finora dimostrato di essere. Brava!

  6. Marcelus Edberg Wallace scrive:

    Si, si, tutto molto bello, ma intanto per noi è l’ennesimo secondo turno non superato.
    Per ora, solo Fognini a Vina del Mar ha superato un secondo turno.
    Si, si, siamo solo all’inizio dell’anno. Lo so.
    Certe volte, dottore, vorrei essere francese. E’ grave?

  7. Elisabetta scrive:

    Oggi inizio bene la giornata : mi sono letta gli articoli di Angelica!!!
    Complimenti scrivi benissimo e complimenti alla mamma della Dementieva per la sua dolcezza ed educazione!!
    :-)

  8. Francesca scrive:

    X Marcelus: non è grave… siamo in due!
    Io non ho il bongo, ma ALLEZ AMELIE!!!!

  9. Nikolik scrive:

    Marcelus, non è vero che per ora, solo Fognini a Vina del Mar ha superato un secondo turno.
    La Schiavone lo ha superato agli Australian Open. Peraltro, lo aveva già fatto anche a Sidney.
    Ma non solo: anche la Errani ha fatto i quarti a Auckland.
    Per tacere della Pennetta, addirittura semifinali a Hobart.
    La Santangelo e la Vinci sono ferme, gravemente infortunate.
    La Knapp prima si è presa una insolazione (le hanno fatto giocare due partite nello stesso giorno, sotto il sole australiano), subito dopo ha preso l’influenza ed è scesa in campo a Parigi ancora da malata.
    Ingeneroso. Ed inesatto.

  10. angelica scrive:

    Andrew, perche’ credi che io salti la colazione la mattina? :P
    Peccato per Tatiana Garbin. :(

  11. Ubaldo Scanagatta scrive:

    Dai Nikolik…Marcelus parlava del post-australian open, mica di tutto il 2008…

  12. Nikolik scrive:

    Ah, certo, se parla di dopo gli australian open ha ragione.
    Quel riferimento, “Per ora”, mi sembrava facesse riferimento a tutto l’anno.
    E anche la frase dopo, “siamo solo all’inizio dell’anno”, mi aveva tratto in inganno, evidentemente, con il riferimento all’anno.
    Però, se si riferisce al post australian open, rappresento che questo è il primo torneo che si gioca (la settimana scorsa non si è giocato per la fed cup).
    Dopo un torneo solo, non vedo come si possa dire “ennesimo secondo turno non superato”.
    Non è l’ennesimo: se si riferisce al post australian open, è il primo secondo turno non superato, perché è il primo torneo che si gioca.
    Ma forse si riferiva a tutto l’anno.

  13. anto scrive:

    Merci Angelique

  14. Marcelus Edberg Wallace scrive:

    Mi sono lasciato prendere dalla depressione post FedCup. Avevo in testa il maschile, e ho indebitamente associato la sconfitta della Garbin agli scarsi risultati degli uomini.
    Tutto vero, Nikolik. Ma è un momentaccio.

  15. Marcelus Edberg Wallace scrive:

    Se poi Bolelli, a Bergamo, perde da Chardy, che altro dovrei aggiungere?

  16. Daniele Bartolini scrive:

    Como volevasi dimostrare M.E. Wallace! Meno male che almeno Seppi ha fatto valere la sua superioritò con Gabashvill.

  17. Sette scrive:

    però seppi ha battuto gabashvili!

  18. marcos scrive:

    …aggiungiamo che seppi ha battuto gabashvili, sfoderando piena sicurezza e notevole efficacia nei suoi turni di servizio. 15 ace, per lui, son molti: chissà, magari diventeranno un’abitudine…

  19. Sette scrive:

    tornando al femminile di parigi, sono proprio contento per la fedak che ha beccato 60 63 da bondarenko jr! è una delle tipe più antipatiche del circuito, perlomeno in campo dove è letteralmente invasata, tra un come on e una pacca sulla coscia per gasarsi… la vidi l’anno scorso a roma contro una oprandi vistosamente menomata fisicamente e niente, ad ogni punto ariecco il pugnetto isterico. che voglia di saltare in campo e prenderla a schiaffi!

  20. Karlovic 80 scrive:

    @ Angelica.
    Complimenti,e dato che sei sul campo,che impressione ti ha fatto la superficie(il cemento GreenSet)?Per schiarirci un pò le idee in vista del torneo Atp di Marsiglia(in main draw è impegnato anche Karlovic) dove useranno la medesima superficie.
    Voglio un dossier tipo FBI!!!
    Naturalmente scherzo.

  21. Roberto Commentucci scrive:

    Ho visto in registrata la partita di Seppi con Gabashvili.

    L’avversario di Andy è un tipo particolare, giocatore potentissimo ma incostante, e capace di tutto quando è in buona giornata. Oggi era in buona giornata, ha sbagliato molto poco, ma Seppi ha giocato secondo me a livelli molto alti, e il match come significati tecnici, non ha avuto nulla da invidiare ad un torneo Atp, con scambi serrati a velocità altissima.

    Come si dice a Roma, volavano gli scaldabagni…

    Seppi ha servito in modo eccellente, con 15 aces e almeno altrettanti servizi vincenti.

    Insomma il servizio, principale settore su cui si è puntato nel lavoro invernale, è migliorato tantissimo, sia la prima che la seconda palla.

    Da fondo ha giocato molto meglio del russo, facendo match pari nella potenza e imponendo il superiore anticipo e senso geometrico.

    E mi è parso anche, finalmente, un po’ più spavaldo e sicuro dei suoi mezzi.

    Ogni volta che lo vedo giocare noto dei miglioramenti.

    Per me chiude l’anno nei 25. :wink:

  22. marcos scrive:

    anche in questa occasione, a rischio di sembrar noioso e, spesso, lo sono, ricordo che qualche anno fa ho pronosticato seppi nei primi venti, sollevando simpaticissime ironie ed ampia ilarità tra compagni di forum. anzi, in un giorno di particolare entusiasmo, devo aver scritto che lo vedevo nei quindici. comunque, top20 è quello che mi aspetto da lui…poi, si vedrà!

    “a beh! se ti basta un quarto al challenger di bergamo per gasarti così…chissà se arriva in semi!”, qualcuno potrebbe dirmi, a ragione.

    “non è il quarto a bergamo: è la serietà e la geometria dei colpi di questo ragazzo a farmi ben sperare”, rispondo.

    angelica…urge resoconto da parigi!

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