Lorsque le double est plus séduisant que le simple

Quando il doppio è più attraente del singolare

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Traduzione a cura di Marine Andrieux

Chakvetdaze – Dechy 61 63
A vos marques, prêt, partez ! 6\1 pour Chakvetdaze. En moins de 20 minutes. 38 points de jouer et la russe en gagne 25. Dans le box de Dechy il y a 7 personnes tandis que du côté de la russe il n’y a personne.
Après 40 minutes de jeux, première balle de break pour la française, annulée par un coup droit. Et finalement avec les encouragements du public Dechy gagne son premier jeu.
Après 5 minutes un autre jeu pour la française et on arrive a 3 jeux partout. Chakvetadze accélère le jeu et gagne les 3 jeux suivants et finalement la partie. Dechy sauve tout de même l’honneur en restant sur le cour plus qu’une heure. En restant une minute de plus en réalité . Sur le court rien de spécial ne ce passe. La russe est trop forte. Quelqu’un la questionne sur son prochain match, elle pourrait jouer contre Mauresmo et le public serait contre elle. Mais il semble que depuis son voyage en Israël elle a prit beaucoup d’expérience parce que sa réponse a été: « L’an dernier j’ai perdu contre elle et c’était un match très dur émotionnellement. Mais la semaine dernière j’ai joué en Israël et donc….(pause)….(sourire)….je suis prête. » Et elle doit surement l’être pour affronter le tambour français des supporters.

Hantuchova – Srebotnik 64 16 63
Hantuchova a admis que tout les match contre elle était très serre et dure. Et le scenario gagnant c’est une nouvelle fois répéter.
Daniela a eu beaucoup de mal contre une joueuse qui sait tout faire’ tout taper comme Srebotnik ( Si c’est incroyable mais ce type de joueuse existe encore, on pense d’ailleurs les protéger de la même manière que les panda)
Daniela gagne le premier set 6\4. Le premiers jeu du second set ne semble jamais finir une fois arriver a 40A. Non c’est le palm de l’arbitre qui ne marche plus et il doit utiliser les ancien papier de score. Le public commence a se plaindre du tableau d’affichage. Finalement au changement de cote l’arbitre de chaise réussi a remettre le score sur le tableau d’affichage et nous en somme a 2\1. Court succès car a 15 partout tout ce bloc de nouveau. Le superviseur arrive et prend le palm pour tenter de le réparer, et fais finalement office de garçon de tableau, c’est lui qui inscrit le score au fur et a mesure.
De toute manière Srebotnik sert de mieux en mieux et voila, elle gagne le second set 6\1. Hantuchova a d’ailleurs dit que pour jouer contre elle, elle doit donner le meilleur d’elle-même. Dite sa a Katarina après un set aussi accrocher. Avec un peu de chance pour la slovaque sur son service a 2\2 et 40A, Srebotnik a une occasion de breaker mais la visière de Daniela tombe. Let, on rejoue le point. Et l’occasion de Srebotnik ne se représentera plus. La prochaine adversaire de Hantuchova sera Szavay,
A propos de Srebotnik je me suis toujours oser une question sur ses choix d’accordement de couleurs. Un ensemble vert jaune user accompagner de chaussure bleue flashi ! Mais enfin Katarina pourquoi ? Pourquoi ? !!!!
Dans la série des tics elle ce défend aussi assez bien, surtout lors de son service. Elle fait bouger son pied droit en rythme avec la balle avant de servir, le tout 4 fois. Belle coordination.

Bondarenko – Fedak 60 63
Derby ukrainien sur le court numéro 1. Un match très court. Katerina envoie des coups de massue a Fedak. Premier set gagner 6 jeu a 0.
Au changement de cote arrive les coach sur le court. C’est surement mon moment préfère pendant les match des sœur Bondarenko. Et cette fois ci ca valait la peine. D’un geste autoritaire et énergique avec sa raquette Katerina fait signe a sa sœur Alona de venir sur le court. De son cote, Alona arrive en pacha, doucement, très doucement. Elle arrive avec dans sa mains un livre de 400 pages et dans sa poche l’indispensable I-pod ( mais avec un seul écouteur dans les oreilles ) et s’assoie. Même pas la moitié n’est prononcer entre les deux sœurs.
De l’autre cote, Fedak a la tête dans sa serviette et son coach tente de lui donner tout les conseils possible. Pour revenir a leur place, le coach de Fedak y va en trottinant tandis que Alona c’est cccccccaaaaallllllllmmmmmmeeeeeemmmmmmeeeeennnnt.
Le second set démarre tout comme le premier, 2\0, 30-0 pour Kataryna. Mais a ce moment la, Fedak retourne s’effondre sur sa chaise et demande le médecin. Kataryna, elle, redemande son coach. Seulement après 3 minutes de l’avoir eu a cote d’elle. Et de nouveau Alona arrive avec son livre et son I-pod et s’assoie. Et aucune parole n’est dite. Hilarant. Moi je l’ai adore. C’est un véritable couple comique.
Fedak survie et reviens sur le court. Elle perd le 3eme jeu et demande la présence de son coach. Seulement 6 minutes après l’avoir déjà eu auprès d’elle. Mais cette fois si cela fonctionne mieux, 3-1, 3-2 et c’est tout… Finie, Kataryna reprend ces coup de massue et gagne le match 6\3 elle jouera les quart de final contre Dementieva.
Au premier étage la mère de Dementieva était présente, regarder le match et prenais des notes.

Srebotnik Peschke - Garbin Tu 46 61 10 6
Bon entre nous, choisir entre les simple de Bartoli contre Cilbukova ( que Bartoli a gagne) et Razzano contre Cornet ( que Razzano a gagne ) j’ai choisie le double avec Garbin malgré le danger que représente Daniele Flavi ( hihihi ), car en effet je préfère aller voir Garbin jouer. Et j’ai fait la bonne chose.
Il y en a qui disent que le double féminins est pour les retraites, d’accord …. Mais venez voir ces 4 jeunes demoiselles jouer et dite que se n’était pas palpitant, la vous seriez un véritable menteur de ne pas dire que cela vous a divertie.
Il y a eu de nombreux échanges très rapide et avec les 4 joueuses au filet ( oui oui les 4, je vous promet je n’ai pas bue. ). De nombreux contre pied et de coup de bluff.
Et surtout il fallait avoir de très bon reflex, surtout pour Srebotnik qui du éviter des balles de l’équipe adverse en ce contorsionnent. La joueuse Tu au premier coup sur elle s’excuse, un deuxième et c’est pareil mais au troisième elle ne manque pas sa cible.
Garbin prouve encore une fois qu’elle a encore une bonne main et beaucoup de touche. Peschke n’est pas en reste. L’unique moment tragique de ce match ce déroule dans le dernier Tie break a 2-2 quand Srebotnik ce bloc le genou. Cela sembler fort sérieux. Il y a donc intervention du kiné et après traitement, Srebotnik sert les dents et prend sur elle pour retourner sur le terrain. Comme cela arrive souvent dans ces cas la de l’autre cote du filet on a tendance a se déconcentre et a perdre c’est d’ailleurs ce qui se passe pour Garbin et Tu. Victoire pour la paire Srebotnik \ Peschke. Le seul regret que l’ont peut avoir par rapport a se match c’est que celui-ci n’est pas était la final.

Mauresmo – Daniilidou
La grecque n’a pas pu défendre ses chance contre Mauresmo, après trois jeux elle abandonne victime depuis le début de la journée du maladie virale. Le prochain match de Amélie en quart de final contre Chakvetadze sera cette fois si un beau et surement difficile test.

A noter a mon avis, le père de Bartoli ne porter pas cette fois si sont ensemble noir habituel. Vous savez celui très célèbre qu’il porte a chaque match et bine il semble que aujourd’hui il soit rester a la maison et peut être même dans la machine a laver.

Quarts de finale :
Szavay - Hantuchova
K.Bondarenko - Dementieva
Bartoli - Razzano
Chakvetadze Mauresmo

IN ITALIANO

Chakvetadze – Dechy 61 63
Pronti, partenza, via! Sei a uno Chakvetdaze. In meno di venti minuti.Giocano 38 punti, la russa ne vince 25.
All’angolo della Dechy ci sono sette persone, a quello della Chakvetdaze non c’è nessuno.

Dopo 40 minuti la prima palla break per la francese, annullata con un dritto. Poi finalmente, applauso del pubblico per il primo game della francese.
Dopo 5 minuti la francese vince un altro game e poi un altro ed arriva sul 3 pari. La Chakvetadze, accelera e vince gli altri tre game e la partita. Dechy riesce a difendere l’onore e a non perdere sotto l’ora. Ci impiega un minuto di più. In campo non succede nulla di particolare. Troppo forte la russa.
Qualcuno le domanda del prossimo match, potrebbe giocare contro Mauresmo e il pubblico sarà tutto per la francese. Ma l’esperienza in Israele sembra proprio avere dato una gran fiducia and Anna perché la sua riposta e’ stata: “Lo scorso anno qui, ho perso contro di lei. E’ stato un match emotivamente difficile. Ma la scorsa settimana ho giocato in Israele e bè…” pausa…sorriso “Sono pronta”. Per la serie i tamburi francesi mi fanno un baffo.

Hantuchova – Srebotnik 64 16 63
La Hantucova ogni volta che ci gioca contro vince ma soffre. E oggi ha ripetuto il copione, vincendo per la per la settimana volta.
Daniela gioca bene e non e’ facile contro una giocatrice come la Srebotnik che e’ capace di giocare a tutto campo (si, incredibile ma esistono ancora questo tipo di giocatrici. Stanno pensando di proteggerle come i Panda)
Daniela vince il primo set 64. Poi il primo game del secondo set sul 40 pari pare non finire mai. No, in realtà si e bloccato il computerino dell’arbitro, costretto a segnarsi il punteggio sul vecchio score-card. Il pubblico incomincia a lamentarsi del tabellone. Finalmente al cambio campo, l’arbitro riesce a sistemare tutto e far arrivare il punteggio sul tabellone a 2-1. Breve successo, sul 15 pari si blocca di nuovo. Il computer viene portato al supervisor, che lo sistema e per un po’ fa il “ragazzo del tabellone’ aggiornando il punteggio.
Comunque la Srebotnik serve meglio e sbaglia un po’ meno et voilà, 61 si va al terzo set.
Hantucova ammette ‘Giocare contro di lei, tira fuori sempre il meglio di me’. Chissà come sarà contenta Katarina di saperlo soprattutto dopo aver perso un set tirato. Anche se però un po’ di fortuna ha aiutato la Slovacca: sul suo servizio, due pari, 40 pari, la Srebotnik ha una buona occasione per portarsi al break point ma la visiera di Daniela cade. Let, si deve rigiocare il punto.
E l’occasione per la Srebotnik non si ripresenta. Hantucova vince sotto lo sguardo della Szavay, sua prossima avversaria.
Della Srebotnik mi colpisce sempre l’assurdo accostamento di colori che indossa. ‘Sto completino bianco e verde-giallino slavato, tipo evidenziatore quasi secco, con delle scarpe di un bel blue! Ma perché Katarina, perchè!!
Per la serie abbiamo tutti dei tic quello della Srebotnik è al servizio. Mentre fa rimbalzare la palla, con la punta del piede posteriore dà lo stesso numero di colpetti al terreno. Ma è difficile, ci vuole una bella coordinazione.

Bondarenko – Fedak 60 63
Derby ucraino, sul campo 1. E’ durato poco. Katerina prende letteralmente a pallate la Fedek. Primo set 6 game a zero.
Al cambio campo entrambe chiedono il coach in campo. Il mio momento preferito quando gioca una delle sorelle Bondarenko! E anche questa volta ne vale la pena. Il gesto con la racchetta di Katerina con cui dice ad Alona di entrare e’ perentorio. L’entrata in capo invece e’ lemme, lemme. Entra con in mano un romanzo di almeno 400 pagine, l’ipod (ma solo un auricolare) e si siede. Per un po’ non si scambiano mezza parola.
Dall’altra parte, la Fedak ha il viso nell’asciugamano e accanto a lei il suo coach, parla, muove le mani, spiega. Uscita dal campo dei coach: quello della Fedak a passo di bersagliere. Quello di Alona traaaanquilllooooo traaaaanquiiiiillllo
Il secondo set parte come il primo 2 a 0, 30 zero per Kataryna. A questo punto la Fedak va verso la sua panchina, si accascia e dice di aver bisogno del medico. Kataryna chiede il coach. Ma se saranno passati si o no 3 minuti da quando tua sorella era seduta accanto a te !!!!
E di nuovo Alona, libro e ipod seduta accanto alla sorella. E non si dicono una parola. Esilarante.
Lo ammetto le adoro. Una coppia comica fantastica.
La Fedak sopravvive. Torna in campo. Perde anche il 3 game e richiama il suo coach. Sempre quello con cui aveva parlato 6 minuti prima. Ma stavolta funziona per un po’, 3-1 poi 3-2 e poi…finisce quasi lì perché la Kataryna riprende a tirar mazzate e chiude 63 e giocherà il quarto di finale contro la Dementieva.
Al primo piano, intanto, mamma Dementieva guardava il match e prendeva appunti.

Srebotnik Peschke - Garbin Tu 46 61 10 6
Ok, dite quello che volete, ma tra il match di singolare Bartoli Cilbukova (ha vinto la Bartoli) e Razzano Cornet (ha vinto la Razzano), io sprezzante del pericolo e del giudizio di Daniele Flavi( hihihi), ho preferito andare a vedere il doppio della Garbin. E ho fatto bene.
Se volete dire che il doppio femminile è un gioco da pensionati, ok….ma prima andata a vedere queste 4 ragazze come giocano e poi, mentendo, dite che non è divertente.
Ci sono stati scambi veloci, con tutte e quattro le giocatrici a rete (si giuro, non avevo bevuto, erano tutte a quattro a rete). Colpi di potenza e di tocco. Finte e contropiedi.
I loro riflessi funzionano bene. Soprattutto la Srebotnik quando ha evitato la pallata della Tu di un soffio. La Tu si e’ subito scusata. Poi, dopo un po’, ci ha riprovato e l’ha sfiorata. Al terzo tentativo c’è riuscita. Presa in pieno e punto in tasca. Garbin ancora un volta ha dato prova di saper giocare un bel tennis. La Peschke ha sempre una bella mano. Unico momento di preoccupazione quando nel tie break finale sul 2-2 la Srebotnik si è bloccata per una una ’pizzicata’ al ginocchio. Sembrava una cosa seria. Dopo l’intervento del fisioterapista, ha stretto i denti e finito l’incontro. Come spesso succede quando dall’altra parte della rete c’e’ una giocatrice infortuna, Garbin e Tu non hanno giocato benissimo la parte finale del tie-break.. Vittoria alla coppia Srebotnik Peschke. Io posso dire soltanto che è un peccato che questo match non sia stata la finale.

Mauresmo – Daniilidou
La greca, purtroppo non ha potuto giocare per un’influenza. Amelie passa il turno senza faticare.
Meglio, perché il quarto di finale è il vero test per la francese: gioca contro la Chakvetadze.
Sarà l’ultimo incontro della giornata.

Notizia del giorno, almeno per me, il padre della Bartoli non era in tuta. Sempre vestito di nero, ma la sua famosa tuta nera che indossava in tutti i tornei, almeno oggi è rimasta a casa…o forse in lavanderia

Quarti di finale :
Szavay - Hantuchova
K.Bondarenko - Dementieva
Bartoli - Razzano
Chakvetadze - Mauresmo

Questo articolo è stato pubblicato Venerdì, 8 Febbraio 2008 alle 06:36 e classificato in Reportages, Wta. Puoi seguire i commenti a questo articolo tramite il feed RSS 2.0. Puoi inviare un commento.